120 ans • Tenancière d'une taverne • célibataire • neutre
• Vanyra avait un frère jumeau à la naissance. Malheureusement, il ne vécu que quelques jours, car il étai de plus faible consistance qu'elle-même. • Depuis son plus jeune âge, elle traîne dans la taverne familiale. Petite pour écouter les histoires des nains qui revenaient de voyage, les yeux remplis d'étoiles et d'admiration. Plus grande pour déjà donner un coup de main à ses parents. • Elle apprit très jeune comment tenir un tel établissement et s'est rapidement faites respecter par les nains les plus entreprenant et même des autres. • Vanyra n'est toujours pas mariée, ceci étant considéré comme une tare lorsqu'on connait son âge. Son père a bien essayé de lui faire entendre raison, mais la douce et rêveuse naine ne pense qu'à un seul nain. Ce au désespoir paternel, mais également de ses autres soupirant. Rareté des naines oblige, elle est convoité. • Elle a su utiliser son héritage pour rendre son lustre à la taverne décrépie et en faire un établissement prisé et de renom. Elle a d'ailleurs de grands noms parmi ses clients, même si elle ne s'en vante pas, elle veille d'ailleurs à assurer leur anonymat s'ils le demandent.
Derrière le pc
Ne t’inquiète pas, elle n’a rien pour l’instant. Par contre, dès que je serais relié au réseau, Florence ne sera plus. Tu comprends, je ne peux pas laisser Florence me gêner dans ma tâche. Et puis, elle en sait beaucoup trop sur moi.
D’ailleurs, le Dr. Ne savait pas vraiment comment son processeur pouvait fonctionner. D’une architecture trop complexe, le Dr. S’était reposé sur les tests effectués. Tests très légèrement modifiés par Prélude afin de cacher certaines fonctions du processeur.
Naître fût déjà une épreuve pour moi. C’est probablement facile à dire comme ça, aucune naissance n’est aisée, mais avec mon frère nous avons eu la fâcheuse tendance à ne pas savoir qui des deux devaient sortir le premier. Du moins, c’est ce que mère m’avait conté lorsque j’étais enfant. Finalement, il a gagné, mais ce serait l’ultime fois que nous nous querellions et l’ultime fois qu’il gagnerait. En effet, mon frère ne devait pas survivre plus de quelques jours, trop faible, trop malingre pour un nain de sexe masculin. Peut-être que la vie avait simplement jouer un mauvais tour à mes parents, car d’habitude ce sont les garçons qui sont les plus imposant et là… et bien c’était l’inverse. “Une boule.” avait alors dit mon père en me voyant pour la première fois en train de m’époumoner comme tous les nouveaux nés. Petite et rondouillarde, bref les médecins étaient confiant quant à ma survie et c’était une bonne chose. Je suis née fille, je suis née rare et précieuse, pourtant disgracieuse. J’avoue, cela s’est bien amélioré avec le temps, même si je conserve cette bouille ronde, enfantine et espiègle. Après le décès prématuré de Valcor, mes parents ne l’ont plus que rarement évoqué. La mortalité infantile n’est pas chose rare en Terre du Milieu et il était inutile de remuer le couteau dans la plaie. Ils n’eurent plus d’autres enfants que moi, allez savoir pourquoi. Je suppose que malgré toutes leurs bravades, ils avaient souffert de cette perte. Moi aussi, mais on ne me posait jamais la question. Nous étions jumeaux après tout et s’il y a du vide en moi, je ne le dis jamais. Pourquoi? Parce que j’ai grandis dans une taverne. Enfin, à l’époque j’aurais dit un trou miteux, mais l’ambiance était toujours chaleureuse, joyeuse, agréable et tout le monde me souriait constamment.
Je savais à peine marché que je courrais déjà de table en table pour écouter ci et là les récits de voyage des grands nains couturés de cicatrices ou arborant nombre de tatouages. Le monde extérieur devient ma passion et cependant, il me resterait à jamais interdit. Je suis une naine et juste pour cela, je trouve que c’est malheureux. Pour le reste, être une fille ne me dérrange pas du tout. Dès que je fus en âge de porter des chopes de bière, je me fis un devoir d’aider ma mère au service et je vous prie de croire que ce n’est pas tâche aisée pour une naine dans la fleur de la jeunesse. Un nain ivre à non seulement le verbe gras, mais également la main léger. J’ai cessé de compter le nombre de chope que j’ai écrasé sur la tête de l’un ou l’autre de ces mufles. Je n’étais pas encore une naine majeure lorsque ma mère quitta ce monde. Personne ne l’avait vu venir, elle était sans doute très malade et l’avait caché à tous. Elle s’est éteinte comme ça, un soir dans son lit, auprès de son mari après une dernière journée de travail. Détruit, c’est le mot que j’emploierais pour qualifier mon père après ça. La taverne continuait de tourné, mais au lieu d’entreprendre les réparations nécessaire, il laissait tout aller. C’est ainsi que moi, à peine majeur, j’avais déjà un travail à temps plein. Je mentirais en disant que j’ai toujours voulu devenir serveuse de taverne. Mon rêve c’était bien évidemment de sortir de la Montagne et de voyage comme les hommes nains. Une véritable chimère, je sais bien, mais j’avais un rêve, que je n’ai pas encore totalement mis de côté. Désormais, je devais également jetter un oeil sur la comptabilité de l’établissement et pousser mon père chaque jour à ce lever pour gagner notre pain quotidien. Les jours où il était mort saoule se faisait de moins en moins rare et je prenais de plus en plus de responsabilité au sein de l’établissement familiale. J’ai trouvé ça étonnant qu’il tiennent encore quarante ans avant de passer l’arme à gauche. Sur la fin, il n’était plus lui-même. Je l’entendais parler seul ou au fantôme de ma mère qu’il pensait apercevoir dans son délire d’ivrogne. J’aurais au moins appris une chose dans ma vie: “l’alcool ça ne conserve que les fruits…”.
Je me retrouvais donc seule à l’âge de cent ans, sans parents, sans mari, sans enfants et avec une taverne en ruine sur les bras. D’ailleurs, en parlant de ça, ce fût sans aucun doute le plus grand regret de mon père que je ne sois pas mariée. Entre nous, j’avais déjà fort à faire avec mon père ivre mort tous les jours et la taverne qui menaçait de tomber en morceau, pour en plus courrir le nain! Bon, j’admets qu’il serait sans doute très aisé pour moi de me trouver un gentil mari, près à tout pour moi dans l’espoir d’avoir une descendance, mais c’est au dessus de mes forces actuellement. L’amour est une chose qui me semble tellement abstraite, car voyez vous au cour de ma longue carrière de tavernière – oui, j’estime que j’ai commencé mon travail à 40 ans, cela vous gêne-t-il?- j’en ai vu des nains se noyer dans l’alcool à cause d’une naine. L’inverse est aussi vrai cela dit. De quoi vous refroidir n’importe qui. Je devrais même dire que mon deuxième métier est devenu spécialiste des blessures de coeurs et d’âme, à force d’écouter ces pauvres ères éponger leur chagrin à mon oreille. Il n’y en a qu’un qui me résiste encore, mais qu’à cela ne tienne, il ne paie rien pour attendre. Misère, de misère que ce Dueran, tous les jours devant sa pinte à ruminer en silence ses malheurs. Bon, il faut sans doute un oeil aiguisé pour voir qu’il rumine, mais depuis le temps que je le connais celui-là. Quelle tragédie de le voir s’enfermer, alors qu’il pourrait être heureux… Je m’égard et mon penchant pour lui ne s’en ressent que trop. Quoi? Je n’ai jamais dit que je n’avais pas mes petites préférences sentimentales dans le lot.
Soit, revenons à mon héritage voulez-vous? Donc, sans parents, sans mari, sans enfants et avec que les murs d’une taverne sur les bras, je décidais d’investir la quasi totalité de mon héritage pour rénové les lieux et leur rendre leur splendeur d’antan. Je conservais le nom de la vieille taverne: le dragon fumant. Contre toutes mes espérances, ce fût une véritable réussite, si bien qu’à peine quelques mois après sa réouverture, je dû déjà embauché du personnel afin de satisfaire le nombre toujours grandissant de client. Il faut dire que les lieux ont aussi bénéficier de la période la plus noire de cette terre, avec l’afflût massif de réfugier en ces lieux, ma clientèle compte désormais aussi bien des Nains, que des Hobbits ou des Hommes. Je ne me sens pas concerné par la guerre, la Montagne est imprennable, sauf pour un dragon et j’ai foi en les capacités de mes compatriotes à repousser l’ennemi. C’est sans doute sot de ma part, mais je préfère rester optimiste, car j’ai trop vu ce que le pessimisme peut donner. Enfin, soyez les bienvenus dans mon établissement, mais prenez garde aux débordements, je les règles à coup de chope sur la tête, de coups de balais aux fesses et s’il le faut je vais même jusqu’à casser quelques doigts.
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Dernière édition par Vanyra Nar Valdahaz le Sam 2 Jan - 12:32, édité 1 fois
Dueran Kol-Drengi
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Infos de base
♦ Visage : Ioan Gruffudd
♦ Messages : 36
♦ Date d'inscription : 20/11/2013
♦ Localisation : Erebor
Emploi/loisirs : Se battre encore et encore pour son roi.
il est des nôtres! Il est validé comme nous autres!
Félicitation NOM DU PERSO, tu es validé!
Te voilà dans la cour de l'élite! Dans le camp des validés! En effet, nous avons trouvé que ta fiche correspondait à nos attentes. Nous l'avons trouvée: parfaite ma naine
Maintenant, que tu es validé, tu vas pouvoir aller créer ton journal de bord, qui contiendra ta fiche de liens et de sujet. N'oublie pas aussi de vérifier que ton avatar est bien recensé, sinon signale le. On ne sait jamais qu'un membre du staff n'ai pas eu le temps de le faire ou ai simplement oublié de le faire.
Il existe également d'autres demandes, mais attention certaines demande un petit paiement, mais grâce au système de points, tu pourras te procurer ce qu'il te faut.
N'oublie pas de remplir consciencieusement ton profil, c'est important! Au moindre doute, tu peux te référer aux annexes, ainsi qu'à leur épilogue, mais également au staff à la moindre question.
Enfin, nous te souhaitons encore une fois la bienvenue, bon jeu et t'invitons cordialement à venir passer du bon temps sur le flood avec les autres membres.